Hommage tardif.
Ô héro ! Mon beau salaud ! Tu es parti sans prévenir personne. Comme un voleur, un monte-en-l’air, par les toits de la ville endormie. Dans les grands espaces, ceux de la haute, tournent déjà au champagne et au caviar. De bon matin, rien pour les autres. Mon salaud, tu as retrouvé la Louisiane comme un mauvais souvenir. Ton butin en poche, les mains vides. Il y a comme une urgence, quand l’amour tue. Clope au bec dans la fumée épaisse. Tombé un beau matin, au printemps, du ciel. Funambules sur un fil tendu au-dessus du vide si grand. Vertigineux vertiges de la vie. Une explosion de vie et de mort. Ô héro ! Mon beau salaud. Chat miaulant sous la pluie, chambre sans vue, sous les toits de Paris. L’amour est une douleur qui vous plombe le cœur. L’amor est un soupir, un souffle au creux de l’oreille, la mort aussi.
Toorsch’
LA CABANE DEVIANTE 
M’en parle pas mon T, je m’en remets de moins en moins. Au début j’ai dit merde… et puis là je plonge chaque jour de plus en plus. Je réécoute tout, avec l’impression d’avoir raté mon rencard avec lui, c’était mitigé entre lui et moi, je laissais pas mal de trucs, puis….. je sais pas, j’chui naze à rater des trucs comme ça je sais pas pourquoi. Aujourd h’ui, album 82 en boucle…loin d’être encore une journée de foutue.
La bizete
Ouais, je sais ton rapport avec le bonhomme. 82, un sacré disque.
Pour ma part, c’est « Tombé du ciel » tout môme, ça tournait parfois à la maison. Puis rien jusqu’à « Amor Doloroso », et là, je remonte le fil, 2006, je plonge vraiment.
Sa mort, c’est comme à chaque fois, une boule au ventre.
La Biz Cman.
il aurait quand même pu prévenir, c’est la moindre des choses, quand on s’absente.